Cahiers de cinéma - Entrée #7…

Prometheus (2012) de Ridley Scott
Ridé Scott
Comme pas mal de monde, j’attendais beaucoup de ce prequel/suite/reboot/remake d’Alien. Un truc qui s’annonçait comme le film de SF ultime, promis à écraser la fin du printemps et le début de l’été. Sauf que derrière mes lunettes 3D, j’ai passé la séance à ricaner et à pointer du doigt les incohérences d’un scénar écrit avec les pieds. À 130M$, ça fait cher la purge, alors je me suis dit que j’étais peut-être passé à côté du message. Et à bien y réfléchir, il semblerait que Prometheus s’inscrive dans la veine d’un cinéma conscient : il s’agit d’une mise en garde contre les dangers du diabète. En effet, plusieurs personnages décèdent après avoir été en contact plus ou moins prolongé avec une substance noire nocive (allégorie du Coca-Cola ?) Je sais, c’est n’importe quoi, mais il ne faut pas trop m’en demander non plus, y’avait Charlize Theron en combi moulante…

prometheus-Affiche-Officielle


Fingers
(Mélodie pour un Tueur) (1978) de James Toback
[REPRISE]
Back Toback
L’avantage d’habiter la capitale, c’est qu’il y a toujours un petit cinoche de derrière les fagots qui propose des reprises assez improbables. En l’occurrence, le Mac-Mahon, une salle qui a du cachet avec sa façade en lettrage américain. Le film : Fingers, connu pour avoir été remaké par Jacques Audiard en De battre mon Cœur s’est arrêté en 2005. Si le pitch des 2 films est plus ou moins similaire, ils ne s’attardent pas sur les mêmes thèmes : la version de Toback est plus dure, plus nerveuse, très 70’s aussi malgré la paire d’années qui la sépare de la décennie suivante. À l’image d’Harvey Keitel qui incarne avec son intensité proverbiale le héros tiraillé. À ce titre, le dernier plan où il fixe la caméra est saisissant. Sa prestation est une des satisfactions d’un long métrage qui, par ailleurs, tâtonne sévèrement par moments.

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Dog Day Afternoon
(Un Après-midi de Chien) (1975) de Sidney Lumet[REPRISE]
“Attica!”
Dans les années 1970, la télé-réalité n’en était qu’à ses balbutiements au pays de l’Oncle Sam. Point de S****t Story et autres joyeusetés de ce genre, aussi, pour financer des projets insolites tels que l’opération de changement de sexe de son partenaire, Al Pacino n’a rien trouvé de mieux que de braquer une banque aidé par feu John Cazale. Un grand classique qui manque parfois un peu de rythme, mais Pacino y fait du Pacino : il hurle, s’agite, occupe l’espace comme personne, mais surtout, cristallise tous les regards de l’opinion publique qui porte en triomphe son braqueur au grand cœur de personnage au point de suivre comme un feuilleton haletant le déroulement de ce hold-up poussif. Le syndrome de Stockholm fonctionne à plein tube et la mise en scène médiatique du destin quelconque d’anonymes dans le but d’en faire du sensationnel aussi. Ça ne vous rappelle rien ?

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The Raven
(L’Ombre du Mal) (2012) de James McTeigue
Manque de Poe
Un accident. A posteriori, comment qualifier différemment V pour Vendetta dans la filmo de James McTeigue, spécialiste ès-croûtes numériques ? Pour l’Ombre du Mal, il revient à ses premières amours pour mettre en scène un super-épisode de Castle avec le quota de gerbes de sang et d’effets dégueulasses dont il est coutumier. Le pitch était pourtant attrayant : Edgar Allan Poe s’associe à un détective pour capturer un criminel sans pitié qui s’inspire de ses œuvres littéraires pour commettre ses exactions. Le résultat ne ravira que les ados amateurs de gore faisandé en manque de sensations fortes, ceux-là même qui n’ont pas la taille requise pour Space Mountain

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Faust
(2011) d’Aleksandr Sokourov
Double Faust
Merci monsieur Sokourov de m’avoir fait comprendre en seulement 2h14 que même en ne lisant pas l’Équipe pendant les cours de Terminale, et en écoutant ma prof disserter sur Platon plutôt que de faire mes devoirs maison de maths, je n’aurais jamais pu obtenir la moyenne à l’épreuve de philo du BAC.

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The Raid
(2011) de Gareth Evans
BIM,  BAM, BOUM, CRAC ! (os qui casse)” ad lib…

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To Rome with Love
(2012) de Woody Allen
À perdre Allen…
C’est officiel, le réalisateur new-yorkais s’est mué en agent de voyage. Après le divin Minuit à Paris, qui faisait déjà la part belle à la capitale française, mais avait pour lui un scénar… surprenant et franchement enthousiasmant, voici Woody en salarié du syndicat d’initiative de Rome. Sa machine tourne à vide, ses histoires sont peu intéressantes et ne se recoupent jamais. On devine les messages “cachés” sauf que lorsque Roberto Benigni fait du Benigni (insupportable), il est déjà trop tard. Pour la petite histoire, Rome est la seule ville jumelée avec Paris et inversement. Il existe même un petit dicton : “Seule Paris est digne de Rome ; seule Rome est digne de Paris”. To Rome with Love est indigne et de Minuit à Paris et du talent de son auteur. Si tous les chemins mènent à Rome, celui-ci a un goût particulièrement amer…

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Starbuck
(2011) de Ken Scott
“What else?”
Ce flim n’est pas un flim sur une enseigne bobo où les gens photographient leur conso avec leur smartphone pour en publier le résultat sur les réseaux dits sociaux ! Vous vous souvenez du début du Fabuleux Destin d’Amélie Poulain ? Lorsqu’Audrey Tautou trouve par hasard une vieille boîte en fer et se met en tête de la rendre à son propriétaire, puis d’œuvrer au bien d’anonymes… Starbuck, c’est un peu le même principe : un type qui n’avait visiblement rien de mieux à faire que de justifier le surnom d’El Masturbator dans sa jeunesse et dans l’intimité des banques de sperme se retrouve “père” biologique de 533 enfants, dont 142 d’entre eux intentent une action en justice contre lui afin de connaitre son identité. Dans l’enveloppe, les 142 dossiers seront autant de petites boites en fer… Ce film m’a touché, cette histoire de  quadra, éternel adolescent, un peu paumé qui porte des t-shirts à l’effigie de super-héros, joue au foot, collectionne les figurines et qui va apprendre à se prendre en main (c’est le cas de le dire). Il faut absolument aller découvrir cette petite merveille qu’Hollywood a déjà salie en en lançant le remake...

starbuck


The Amazing Spider-Man
(2012) de Marc Webb
Raimi sans famille
L’espace d’une demi-heure (la première), j’ai bien cru que j’allais pouvoir descendre de mon cheval et interrompre ma croisade anti-Marvel. L’exposition est plutôt sympathique, les personnages attachants : Andrew Garfield campe avec conviction l’emo bleu (et rouge), et le couple qu’il forme avec Emma Stone est une des rares satisfactions du film qui sombre dans le grand-guignol et la surenchère (la scène des grues, WTF?) dès lors que le ridicule/risible/pitoyable méchant se dévoile. Rhys Ifans ne méritait probablement pas ça, ni même Marc Webb, auteur du génial 500 Jours ensemble, pas plus qu’Emma Stone qui a été la première de l’été à œuvrer à ma réconciliation d’avec les filles aux boucles d’or. The Amazing Emma Stone aurait été un titre bien plus judicieux, tiens…

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The Dark Knight rises
(2012) de Christopher Nolan
Christopher LOLan
On en parle ou pas ? Le lundi 18 août 2008, je suis sorti de l’UGC Ciné-Cité Bercy littéralement soufflé par The Dark Knight, le deuxième volet de la saga Batman cuvée Nolan. Depuis ce jour, j’attends avec une impatience qui m’a presque poussé à annuler une partie de mes vacances, le troisième volet, la conclusion fracassante que promettait l’épilogue du vertigineux épisode pair. Las, The Dark Knight rises oscille entre le foutage de gueule et le bâclage. Je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler les gens qui ne l’auraient pas vu, mais je me sens comme le gamin au matin de Noël qui se rend compte que le pied du sapin est vide alors qu’on lui avait promis une liste longue comme la Wayne tower de Gotham. J’aime à croire que c’est la Warner qui est responsable de ce désastre, de la réécriture et de l’inclusion de scènes niaises et/ou incohérentes. J’ai du mal à en vouloir à un réalisateur qui ne m’avait jusqu’alors jamais déçu. Cependant, s’il est responsable de ce fiasco, je lui dirais comme Bane à Bruce Wayne : “your punishment must be more severe!

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Brave
(Rebelle) (2012) de Mark Andrews, Brenda Chapman & Steve Purcell
Il vaut mieux être belle et rebelle, que moche et remoche.
Depuis la deuxième partie poussive de Wall-E – alors que le début tient du chef d’œuvre –  en 2008, j’annonce le déclin des studios Pixar. On y est. Ce n’est même plus remarquable techniquement (hormis la scène de tir à l’arc au ralenti), même plus fouillé au niveau des scénars, même plus bourré de trouvailles visuelles (hormis la hotline de la sorcière), même plus original, juste banal… On connaissait l’expression chercher une aiguille dans une botte de foin, on pourra désormais l’utiliser alternativement avec chercher plusieurs niveaux de lecture dans un Pixar…

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28 thoughts on “Cahiers de cinéma - Entrée #7…”

  1. oh ben Spiderman c'est chouette tout de même ... beaucoup mieux que l'indigeste Dark Night .... ca fait plaisir de retrouver ta plume acérée ...... :))

  2. Évidemment vu comme ça, et en comparaison avec The Avengers par exemple, c'est loin d'être honteux. Mais ce n'est toujours pas ça, sauf pour vendre des produits dérivés aux ados peu regardants, et du pop-corn pour les séances des prochains volets... Triste.

  3. Il y a bien deux ou trois choses que j'ai trouvées un peu niaises dans The dark knight rises, mais je trouve néanmoins ta critique un peu sévère. Je comprends que tu ne développes pas davantage ton point de vue pour ceux qui n'ont pas encore vu le film, mais je serais tout de même curieuse pourquoi ton jugement est aussi sévère.

  4. Je l'ai regardé avec les yeux de quelqu'un qui l'attend depuis 4 ans, dépité par tous les navets concernant les super-héros sortis entre-temps, quelqu'un qui connait le potentiel de Nolan et qui tient The Dark Knight pour le monument qu'il est. Beaucoup d'attente donc (trop ?), mais j'ai essayé de juger objectivement et si ça ne fonctionne pas en tant que 3è film de la sage, ça ne fonctionnerait pas non plus en tant que film indépendant. Peut-être que je réévaluerai à la revoyure, mais là c'est juste une immense déception...

  5. Depuis que Pixar est passé sous le girond Walt Disney, ce studio prend le chemin des autres studios WD : facilité et apathie ... Espérons que Georges Lucas (qui avait cédé Pixar à Steeve Jobs suite à un divorce onéreux) se réveille et retaille un studio digne de ce nom ...

  6. Bonjour Julien,

    La déchéance de Pixar depuis Wall-E est un peu fort selon-moi. Je nuancerais en indiquant que la qualité des oeuvres est devenue inégale, ce qui reste en effet une nouveauté depuis 1995. Et même si je ne suis pas un fervent défenseur de "Up", il faut reconnaître que Toy Story 3 en 2010 était un sommet dans tous les domaines, presque indiscutable je pense.

    Concernant Brave, je te rejoins, alors que le sujet semble prêter à une grande quête solitaire initiatique, le tout est simpliste et gentillet.
    Finalement le point fort de Rebelle, c'est d'être sorti après Cars 2...

  7. The Dark Night Rises est une blague. Je me suis marrée pendant les 30 dernières minutes en revanche Brave m'a bien plu. Bon j'avoue que j'y suis allée juste pour la crinière rousse fournie de l'héroïne et je n'ai pas été déçue. Bon ensuite l'histoire est un peu bidon. Plutôt limite même maiiiis les cheveux sont géniaux.

    Sympa ton blog.


    PS: Il faut avoir la foi pour poster un commentaire, ton widget de vérification (sécurité) est ILLISIBLE. Patience s'impose.

  8. Tout comme vous, Prometheus m'a laissé perplexe par la faiblesse du scénario et la faible épaisseur des personnages... Naomi Rapace est une très bonne actrice, mais elle ne peut pas sauver le film! Je n'ai pas aimé The Dark Knight Rises... pour des raisons un peu similaires. Les 2h30 m'ont paru bien longues. Et Marie Cotillard....! No comment!
    Par contre, le Woody Allen m'a bien éclaté. C'est un film qui peut apparaître comme un foutage de gueule, mais pour ma part, j'ai aimé les personnages hauts en couleur comme celui de Pénélope Cruz et la drôlerie qui se dégage des situations. Benigni, je ne suis pas fan d'habitude, mais pour le coup j'ai trouvé qu'il tenait bien son rôle (il paraît que le dernier film de Xavier Giannoli "Superstar" reprend la même idée scénaristique...). "Midnight in Paris" m'avait ennuyé, "To rome with LOve" m'a fait rire...!
    Starbuck, grand moment aussi... Très drôle, très bien joué... Et Rebelle, même constat... Trop enfantin et sans surprises pour moi même si c'est joliment fait...

    Avez-vous vu "Les enfants loups, Ame et Yuki"? Mon ENORME coup de coeur de la rentrée... Un film superbe. "Les enfants de BelleVille" est à voir aussi...

    Benoit G.
    Les Lilas

  9. Coucou,
    Je viens de découvrir ton blog après avoir assisté ce midi à le cession de ton fauteuil...Je ne cache pas ma tristesse, ironisée par mon frère devant mes parents... "Et oui ma soeur vit à fond les jeux télévisés !".
    Bravo pour les textes super bien écrits et personnels, c'est un plaisir de te lire ! J'ai, après lecture du post sur Prometheus, que je n'ai pas encore vu, décidé de ne pas boire de coca ce midi...

    Virginie

  10. Bonjour Julien.

    Je t'ai suivi jusqu'à aujourd'hui et attristée que tu partes. Mais c'est le jeu...

    Je ne connaissais pas ton blog. Ravie de le découvrir (merci Nagui ! lol)

    Ah le ciné... très jeune j'y allais. C'était l'époque des 1er James Bond ! Oui je fais presque parti des retraités.

    Pour les films que tu cites je n'en ai vu aucun.

    Un qui m'avait vraiment plu c'est Avatar.


    Amicalement. Dani (Les Chats du Bocage)

  11. Bonjour Julien ! Une jolie découverte ce blog...Moi aussi je suis triste de te voir quitter 'ton fauteuil rouge' car depuis quelques temps, je me prenais au jeu et t'applaudissais bien fort à chaque victoire :) Comme j'aime le cinéma, je reviendrai bientôt par ici.
    Amitiés. Chantal

  12. Bonsoir

    Je regarde très peu la télé mais je dois avouer que ta présence sur une des rares jeux qu'il m'arrive de regarder le week-end était fort sympathique.
    En visitant ton blog on comprend pourquoi tu étais si bon en cinéma ;o)

    Bonne soirée

  13. Bonjour Julien le primate sans cravate
    sympa tes articles sur le ciné, pleins d'humour !! tout à ton image avec ce mélange de modestie, de savoir et d'élégance
    dommage pour le jeu mais bravo pour la prestation
    bon dimanche

  14. bravo pour ton parcours TLMVPSP, pour ta classe et ta modestie. j'avoue que je vais suivre le jeu avec un peu moins d'enthousiasme maintenant que tu n'es plus champion...

  15. @Olivier : Je me suis fait la réflexion également. Je ne vois cependant pas l'intérêt de Disney, sauf de faire réévaluer leurs productions. Et ça fonctionne car j'ai trouvé Raiponce supérieur à certains Pixar récents...

    @Guillaume : C'est vrai que le mot est fort, mais il est à la hauteur des sommets que le studio avait atteints...

    @Dédéo : On est d'accord pour le Batman... Je regarde pour le captcha ;)

    @Benoît : Comme quoi, les goûts et les couleurs... Je n'ai pas vu les Enfants Loups, mais c'est un style d'animation qui me parle très peu.

    @Virginie : Merci ! C'est tellement bon. Mention spéciale au Coca-Cola Cherry : un délice :)

    @Dani : Merci ! Pas d'inquiétude, sans vouloir être "décliniste", la production a tellement baissé en qualité. Les grands films sont de plus en plus rares. Je m'en rends compte en rédigeant les chroniques...

    @Chantal : Merci, et à bientôt alors !

    @Pascal : Merci ! On ne se refait pas :$

    @Vincenzo : Merci !

    @Sylvie : Très touché, merci !

    @Sofy : C'est gentil, merci :)

    @Roijoyeux : Et les 2 reprises !

  16. Je ne sais pas ou poster alors je poste ici. Désolé pour le HS.

    Je voulais juste vous dire que j'ai beaucoup apprécié votre aventure à TLMVPSP. Vous êtes un très grand champion et votre participation m'a permi de découvrir votre blog fort intéressant.

    Merci pour votre bonne humeur du midi et bonne continuation !

    Thomas

  17. Hello Julien, mon ami et moi regardions l émission surtout pour toi il faut l avouer. Entre la performance de Marion Cotillard dans le dernier Batman et ta defaite nous passons une sale période!! J ai aussi décidé d arrêter de regarder l émission, c est comme ça! Nous te souhaitons bonne route, bons voyages et irons voir ton blog fréquemment. Bises Aurélie et Aurelien

  18. C'est vrai Julien depuis que vous êtes parti, je n'arrive plus à me mettre devant le petit écran, lorsque je vais le raconter à mon petit fils qui se prénomme Julien aussi, il va être tellement déçu, chaque fois qu'on se téléphone il me demande si vous êtes toujours là; Vous nous avez joué là un bien sale tour, mais on ne vous en veux pas, on continue de vous suivre ici.
    a bientôt

  19. Déçu par cette défaite,... il est vrai qu'on s'était fait à ce rdv quotidien sur France 2, mais en contre partie, on est ravi de voir ce blog mis à jour avec des critiques toujours intéressantes à lire... Dans l'espoir que les professionnels du métier te remarquent aussi! Bonne continuation!

  20. Merci Julien pour tout ce que vous avez apporté au jeu tlmvpsp, votre joie, votre bonne humeur, votre impressionnante culture générale, mais surtout votre humilité sans faille malgré les victoires qui se sont succédées pendant plusieurs mois.
    Je vous souhaite un tout aussi magnifique parcours pour l'avenir, et que tous vos rêves se réalisent car vous le méritez vraiment.
    Amicalement,
    Karine

  21. Bonjour Julien,
    Je suis bien triste que tu quittes le plateau de Nagui mais je me réjouis de te rendre visite régulièrement sur ce blog qui est décidément bien construit!
    Je te souhaite beaucoup de réussite pour la suite et de bien profiter de tous les merveilleux voyages qui t'attendent...
    A très bientôt!
    Katia

    PS: et j'en profite pour te souhaiter un très bon anniversaire avec quelques jours de retard...

  22. Bonjour Julie,
    ... je ne vais par être très originale ... !! moi aussi c'est grâce à Nagui que j'ai pu venir sur ce blog !! Merci à lui, je l'aimais déjà avant .. !!
    Je suis assez bon public au cinéma (à mon plus grand regret !!) ... je t'ai quand même trouvé un peu dur concernant Rebelle (dernier film que j'ai vu avec mon loulou !!). je crois que ce film est dédié surtout aux enfants et qu'il leur ouvre un peu l'esprit sur les princesses, les rites et tout ce qui est tradition !!
    A bientôt pour d'autres comm !!
    Fabienne

  23. @Aurélie et Aurélien : Les prénoms, on en parle ? Merci à vous, mais ça ne me fera pas revenir...

    @Annie-Ange : Je suis vraiment désolé ! Est-ce que je peux vous demander de présenter mes excuses à Julien qui a un merveilleux prénom ?

    @DéDé : Merci, c'est gentil. Oui, on change juste d'écran, mais le rendez-vous demeure (et est valable à toute heure, pas simplement entre 12h et 12h50)

    @Karine : C'est extrêmement touchant ! Ça tombe bien, car un peu fatigué de poursuivre mes rêves, je m'étais contenté de leur demander où ils allaient pour les rejoindre plus tard. Le moment est arrivé !

    @Katia : Merci, l'attention est tout de même appréciée !

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