Steve Savidan est né le 29 juin 1978 à Angers. Attaquant fantasque, il a débuté sa carrière professionnelle au SCO en 1997 et l’a achevée au Stade Malherbe Caen 12 ans plus tard. Ces 2 villes, distantes de moins de 200km à vol d’oiseau, pourraient symboliser un parcours casanier et ordinaire ; il n’en fut rien. Passé par Châteauroux, Ajaccio, Beauvais, Angoulême avec un bonheur à géométrie variable, il explose finalement à Valenciennes. Il y découvre la Ligue 1, se permettant le luxe de claquer un quadruplé à Fabien Barthez lors de sa première saison dans l’élite. Ses performances le mènent en Normandie à l’intersaison 2008. Ses premiers mois réussis attirent l’attention de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, alors sélectionneur de l’équipe de France. Il lui offre sa première et unique cape le 19 novembre 2008, au Stade de France, face à l’Uruguay. À 30 ans et 5 mois, Steve Savidan devient international.
Les temps changent ! Loin des papinades de Savigoal qui avaient réchauffé la fraîche soirée dionysienne, la sélection tricolore s’est présentée avec le deuxième effectif le plus jeune de la compétition derrière le Nigéria. Les 23 Bleus émargent à 25,6 ans de moyenne, 2/3 des joueurs ayant 25 ans ou moins. Comme disait Corneille – le dramaturge, pas le chanteur –, “aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années.” D’où le clin d’œil introductif à la chanson de Damien Saez. Double clin d’œil, en réalité, car après les 48 matchs du premier tour, il ne reste que 16 équipes encore en lice. Elles vont se disputer 8 places en 1/4 de finale dans des affiches qui sentent le soufre (de numéro atomique… 16).
Nous sommes le vendredi 29 juin 2018. Demain débutent les matchs à élimination directe. Comme je ne bosse pas pour Panini, pas besoin de casser votre PEL ! Voici, et gratuitement, le programme de ce tour :
FRANCE – ARGENTINE
LA GROSSE COTE : la résistance de la doublure des poches de Kanté. Messi plus 5 Ballons d’or, ça pèse son poids…
Les temps changent ! Loin des papinades de Savigoal qui avaient réchauffé la fraîche soirée dionysienne, la sélection tricolore s’est présentée avec le deuxième effectif le plus jeune de la compétition derrière le Nigéria. Les 23 Bleus émargent à 25,6 ans de moyenne, 2/3 des joueurs ayant 25 ans ou moins. Comme disait Corneille – le dramaturge, pas le chanteur –, “aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années.” D’où le clin d’œil introductif à la chanson de Damien Saez. Double clin d’œil, en réalité, car après les 48 matchs du premier tour, il ne reste que 16 équipes encore en lice. Elles vont se disputer 8 places en 1/4 de finale dans des affiches qui sentent le soufre (de numéro atomique… 16).
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URUGUAY – PORTUGAL
LA GROSSE COTE : Cavani et Suárez, les joueurs de l’interior contre Quaresma, le joueur de l’exterior…


ESPAGNE – RUSSIE
LA GROSSE COTE : le juge de paix pour départager les deux premiers volets de la trilogie de Cédric Klapisch, L’Auberge espagnole et Les Poupées russes…


CROATIE – DANEMARK
LA GROSSE COTE : Carlsberg debout ou Kro assis ?


BRÉSIL – MEXIQUE
LA GROSSE COTE : la probabilité que le Mexique, pays du spring break, offre un summer break anticipé à Neymar. Ce serait bien la peine d’avoir séché la moitié de l’année scolaire pour préparer un examen auquel on échoue prématurément…


BELGIQUE – JAPON
LA GROSSE COTE : Diable ou samouraï, qui fera monter la sauce ?


SUÈDE – SUISSE
LA GROSSE COTE : la prolongation, histoire de voir un truc suisse fonctionner après 17h…


COLOMBIE – ANGLETERRE
LA GROSSE COTE : le retour de Robbie Fowler, parce que la plus célèbre de ses célébrations ne sera jamais aussi pertinente que face à cet adversaire…


À тантôт…